Tout le monde s’appelle Buddy 

En vrac : la décontraction totale de toutes les personnes croisées, sans exception, comme si on avait été à l’école ensemble ; les parcs en pleine ville avec leurs arbres immenses ; les gens qui courent dans tous les recoins de la ville ; les minuscules maisons alignées sitôt que l’on sort l’hyper-centre (j’ai vu l’intérieur d’une par sa porte restée ouverte, ce n’est pas grand, vraiment) ; l’importance donnée au corps, entretenu (grande différence avec les USA, très peu d’obèses voire pas du tout, les légumes et les fruits partout aident certainement) ; les X personnes habillées en orange qui régulent sécurisent le moindre chantier et gèrent les flux piétons (ici ce sont toujours des jeunes femmes, jamais vu un seul homme – les hommes s’occupent « des trucs de mecs » comme péter des immeubles et puis les routes) ; le côté très boy scout de toutes et tous ; les uniformes des écoliers, des lycéens (j’aime beaucoup) ; les food courts, au sous-sol des immeubles, sortes de galeries marchandes consacrées à la mangeaille exclusivement, alignement d’enseignes toutes plus exotiques les unes que les autres (en plus des classiques Mac Do et Subway) : on commande, on paie, on mange sur les espaces aménagés situés au centre, le tout, à l’heure du déjeuner, dans un bruit, une presse, effarants. 

So long Sydney (on part demain). 

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