À Byron Bay, point le plus à l’Est du continent, marcher sur une plage longue de début du monde et vide évidemment à part quelques surfeurs et ces fous accrochés aux cerfs-volants, difficile de s’habituer à tout ce vide d’humains.
Tout près du phare blanc regarder loin le Pacifique, en face il n’y a rien avant milliers de kilomètres qu’une eau toujours recommencée, et le souffle panache blanc qu’on voit, des baleines qui vivent là (c’est le panneau qui nous l’explique, pédagogue).
On pense au mal qu’on fait à la planète et que finalement, quand nous nous serons détruits nous-mêmes, tout cela continuera sans nous et parfaitement, c’est une consolation, vraiment.
Sur la photo pierres cueillies à même sable, le cliché est raté, on me pardonnera, c’est un métier que photographe.
Moi, je ne vois pas de différences avec celles du photographe
Ah ben si quand même
C’est toujours mieux qu’un Word art
La convention de Genève interdit le Word art