Tous les 200 km, on s’arrête à une station essence, sorte de caravansérail pour voyageur intrépide défiant l’immensité australienne. Il retrouve un oasis de « civilisation », toilettes extrêmes, boissons et nécessaire de survie…..On refait le plein….l’or noir porte ici encore mieux son nom….
Les commentaires sont fermés.